Des caméras "non visibles" pour surveiller les suspects de terrorisme
Les missions de surveillance demandent des moyens humains particulièrement importants et la possibilité d'utiliser des caméras non visibles devrait pouvoir améliorer la façon dont elles sont menées.
Un cadre légal précis pour la surveillance des suspects de terrorisme et de personnes en voie de radicalisation a désormais été établi par le conseil des ministres, afin que le parlement puisse se pencher sur la question après l'été.
Par ailleurs, les policiers pourront bientôt employer des "bodycams", des caméras placées sur leur corps et qui enregistreront leurs faits et gestes lorsqu'ils seront en mission. Celles-ci garantiront notamment "une plus grande sécurité aux agents qui doivent souvent travailler dans des circonstances difficiles", a commenté Jan Jambon. Ce dernier présentera plus largement ces nouvelles mesures vendredi.